samedi 31 juillet 2010
SUGAR MINOTT - Dance hall showcase (1982)
This black roots 10" is a bit rare because it has never been repressed for many years now, nor released on CD...But my best reason to post it here is also because it's a real big gem from Sugar Minott! 4 rub a dub tunes on classics riddims (i've got the handle, koutchie, prophecy...) and nice versions too...Enjoy about 30 minutes from the great late and only one LINCOLN SUGAR MINOTT
01 easy squeeze (make no riot)
02 dub
03 come back baby
04 dub
05 nice it up
06 dub
07 dance hall style
08 dub
DOWNLOAD LINK:
http://www.megaupload.com/?d=D36UHIW0
mercredi 28 juillet 2010
SUGAR MINOTT - Is it true (1975 Forward)
mardi 27 juillet 2010
THE SKATALITES @ ROUEN Le hangar 23 (06 05 2010)
Encore une fois ce sont des vidéos tournées avec mon téléphone...L'image est donc mauvaise (de plus j'étais loin de la scène) mais le son est correct...
Début de tournée pour les skatalites 2010...Plein de p'tits jeunes nouveaux qui donnent de la gnaque aux morceaux joués depuis pas mal de générations...Ça m'embête un peu de le dire, mais honnêtement ça joue un peu plus serré qu'il y a quelques années. De toute facon ce groupe est aujourd'hui devenu une institution de la musique jamaicaine, alors c'est bien qu'il y ait des musiciens venu des quatres coins du globe (dont le petit francais Natty à la guitare!) Reste l'unique "survivant" de la formation originale j'ai nommé Lloyd Knibbs a la batterie, 40 ans derriere les futs du plus grand groupe de ska au monde ! (et on l'entend tres bien sur cette video)
Début de tournée pour les skatalites 2010...Plein de p'tits jeunes nouveaux qui donnent de la gnaque aux morceaux joués depuis pas mal de générations...Ça m'embête un peu de le dire, mais honnêtement ça joue un peu plus serré qu'il y a quelques années. De toute facon ce groupe est aujourd'hui devenu une institution de la musique jamaicaine, alors c'est bien qu'il y ait des musiciens venu des quatres coins du globe (dont le petit francais Natty à la guitare!) Reste l'unique "survivant" de la formation originale j'ai nommé Lloyd Knibbs a la batterie, 40 ans derriere les futs du plus grand groupe de ska au monde ! (et on l'entend tres bien sur cette video)
lundi 26 juillet 2010
SUGAR MINOTT - In the residence (1978 Lightning)
samedi 24 juillet 2010
INNA DE YARD ALL STARS 2010 @ PARIS Glazart beach
Dans l'ordre:
MATTHEW MC ANUFF: Book of life (Hugh Mundell)
CLINTON FEARON : Chatty chatty mouth (the gladiators)
CEDRIC MYTON : Humanity (prince Lincoln)
DERAJAH: who yeah yah
KIDDUS I : Graduation in Zion
EARL CHINNA SMITH : Homegrown
vendredi 23 juillet 2010
MATTHEW MCANUFF @ LIVE AND DIRECT !
SUGAR MINOTT - This old man (1976 studio 1)
samedi 17 juillet 2010
SUGAR MINOTT - 27 10 2002 @ SUNSET Pepper's cafe
Super concert de Sugar aux U.S.A Comme à son habitude il mélange toute les périodes de sa carrière, mais joue néanmoins beaucoup de tunes rub a dub du début eighties...
Petite préférence personnelle pour "hard time pressure", mais tout est bon a prendre...
01 Band intro
02 Run Things
03 Sprinter stayer
04 River Jordan
05 Hard Time Pressure
06 Slice of the Cake
07 Give Thanks and Praises/i'm not giving up(Don Carlos)
08 Hard Time Rock
09 Dance This Reggae Music
10 Herbman Hustling
11 African Herbsman
12 Herbman Hustling
13 No Vacancy
14 Rough Ole Life
15 Vanity
16 Never Give Up/Pretty looks isn't all(The heptones)
17 Hang on natty
18 Never Gonna Give Jah up/ ?
19 Oh Mr. D.C.
20 54-46 Was My Number/A house is not a home(aborted)
21 Rydim
DOWNLOAD LINK:
http://rapidshare.com/files/407415668/SUGAR_MINOTT_-_2002_10_27___SUNSET_Pepper_s_cafe.rar
jeudi 15 juillet 2010
mardi 13 juillet 2010
SUGAR MINOTT - Every little thing (1979 mandigo)
dimanche 11 juillet 2010
SUGAR MINOTT - I wanna be with Jah ( 1980 Black Roots)
NINEY & THE OBSERVERS - Aily & Ailaloo + Episode 11 (1972 Observers)
Ganja tune ! Pas sur de bien capter les lyrics, mais le message en substance revient à dire que l'herbe est la panacée des nations (le break est assez clair quand même). J'aime beaucoup ce morceau pour son coté reggae "frais" de 1972. Le rythme est bien syncopé, on a l'impression que c'est légèrement pitché "à la John Crow skank" et le son propre et lissé, une des caractéristiques de n'importe quel morceau enregistré par ce psycho rigide du son propre qu'est Niney. Si les crédits vont ici a Niney & the observers, on aura aucun mal a entendre qu'il s'agit de Max Romeo au lead vocal, plus Niney himself ainsi que Lloyd Charmers aux choeurs. C'est le début du reggae roots, sur un tempo bien ralenti et je pense une des premières tunes a parler de weed aussi ouvertement (Niney travaillant pour son compte, et ayant le vent en poupe après l'énorme succès de "blood & fire" pouvait se permettre ce genre de chose). Coté musiciens, je ne sais pas si c'est soul syndicate qui backe comme a son habitude, mais tout ceci sonne un peu comme les upsetters de Lee Perry. Y'a plus qu'a chanter "Aily...Ailaloo...Ailallo is good for you...)
jeudi 8 juillet 2010
LEO GRAHAM + CHARLEY ACE + THE UPSETTERS - Black candle + Big tongue Buster + Bus a dub
Special request pour Tortulut qui voulait écouter des tunes de leo Graham( a droite sur la photo, Winston Jarrett est lui le grand rasta a gauche)...Voici donc "black candle", qui a je pense été réédité en CD de façon assez conséquentes. Mais j'ai rajouté le cut DJ assuré par Charley Ace qui lui est beaucoup plus rare. Les singles sont d'époque donc on déjà étés joués un gros nombre de fois, alors on entend bien le souffle...Leo Graham vient de la paroisse de Trelawny au nord ouest de la Jamaique et a débuté en étant que chanteur des overtakers, puis des bleechers. Il débutera ensuite sa carrière solo en chantant "news flash" en 1972 pour Scratch, puis d'autres singles verront le jour...En 1974, après la rupture avec Perry il enregistrera quelques singles pour Joe Gibbs sans trop de succès, puis je ne sais pas...Il fera ses meilleurs titres avec Scratch en tout cas, dont ce single "black candle" énorme tube en Jamaique(il en vendra à l'époque près de 15 000 exemplaires, ce qui n'est pas rien. Le riddim étant devenu un hit, d'autres chanteurs viendront poser dessus (dont Bob Marley avec son "keep on skanking"). Charley Ace (sous couvert d'anonymat, son nom n'apparaissant pas sur le macaron) envoie du lourd sur Prince Buster...Ça sent le reglement de compte entre Scratch et Buster...(pourtant grands amis et ayant enregistrés ensemble "judge dread" quelques années avant) J'ajouterai que ce fut un des premiers morceaux à être enregistré au studio de Scratch, le fameux black ark. La version des upsetters "bus a dub" est elle excellente, le batteur s'amusant bien a casser le rythme (on dirait bien du Carlie Barrett). Turlulut je dois avoir d'autres tunes de Leo quelque part...
LEO GRAHAM : Black candle
CHARLEY ACE : Big tongue Buster
THE UPSETTERS : Bus a dub
mercredi 7 juillet 2010
GREGORY ISAACS + DENNIS BROWN - Danger in your eyes + cold hearted fool (1997 Digital B)
Bon, en général le digit nu roots c'est pas trop mon style, mais force est de constater que ce recut du classique "danger in your eyes" est plutôt bon. D'abord c'est digit certes, mais il y a quand même des skanks de guitare et des vrais cuivres. Et puis ce n'est pas trop "pollué" de samples comme on peut avoir l'habitude d'entendre sur certaines productions (moi ça me saoule...enfin bon chacun ces goûts me direz vous). Bon la, c'est Gregory Isaacs et Dennis Brown...alors pas besoin de vous dire que ceux la savent chanter et faire sonner une version. Le cut de Gregory est assez fidèle à la version originale, avec son style inimitable en plus, quand à celui de Dennis Brown, sa voix chargée en émotion fait mouche à chaque fois (ça c'est pour ses détracteurs qui disent qu'il chantait mal sur la fin...techniquement parlant il etait juste au top)Après j'ai laissé courir la version de Danger Jazzwad derrière histoire de... Comme quoi y'a du bon chez digital B le label de Bobby Dixon, moi qui à l'époque en était plutôt resté sur des trucs dancehall genre shabba ranks ou Buju, j'avais jamais trop eu le temps de creuser sur ce label. J'en ai quelques autres qui sont pas mal aussi, si cela interesse quelqu'un je pourrai en poster d'autres sur des gros riddims (stalag, death in the arena, i'm not a king, won't you come home)Aujourd'hui on peut dire que c'est du vintage ou presque (1997!) mais ces prods restent fidèles a l'esprit d'un reggae jamaicain, avant que le dancehall se mette a reprendre tout et (surtout) n'importe quoi...
GREGORY ISAACS: Danger in your eyes
DENNIS BROWN : Cold hearted fools
DANGER JAZZWAD : Version
DAVID ISAACS - Breaking up + straight to Phil Pratt head (1975 Hulk)
Je suis loin d'être un specialiste sur la discographie de David Isaacs, mais une chose est sure, c'est qu'il n'aura pas eu la carrière qu'il aurait mérité avoir. Je sais qu'il a débuté sa carrière à l'aube du rocksteady, enchainant les titres pour Lee Perry (dont le gros succès de "a place in the sun" superbe reprise d'un little Stevie Wonder)après un duo prometteur avec Alton Ellis ("give me your love" pour Duke Reid)en 1968. Il enregistrera ensuite sporadiquement avec d'autres producteurs dans les 70's (dont l'incontournable Bunny Lee ) avant de réaliser 3 albums respectivement en 1976,1979 et 1982. Il remplacera ensuite Lloyd Rickets en 1987 au sein des Itals pour une pige de près de 20 ans ! avant de s'éteindre en 2009 chez lui en Jamaique. Ici le single est "breaking up" paru sur le label Hulk de Rodguel "Blackbeard" Sinclair (frère de Tappa Zukie), composition originale et non pas reprise d'Alton Ellis, qui bénéficie d'un excellent riddim. Ce titre est paru sur l'album "Till i can't take it" du même label Hulk, mais reste aujourd'hui largement introuvable. La face B est le dub, tres bien travaillé par Blackbeard, qui donne tout l'intérêt au post d'aujourd'hui. On notera que David Isaacs ayant enregistré un single sur le label sunshot la même année, le titre "straight to Phil Pratt head" prendra une dimension toute particulière (Il ne travaillera plus jamais avec ce producteur à l'avenir, mais fera d'autres tune avec Blackbeard).
DOWNLOAD LINK:
http://www.megaupload.com/?d=352JU16C
mardi 6 juillet 2010
BYRON LEE & THE DRAGONAIRES - People get ready this is rock steady (1967 Soul)
Byron Lee & the dragonaires ont longtemps, très longtemps et aujourd'hui encore été remisés dans le cadre d'un groupe uptown qui joue n'importe quelle type de musique, pourvu que cela plaise aux touristes venu passer leur vacances sur la cote nord jamaïquaine. C'est vrai qu'il y a un gros fond de vérité la dedans, mais en se penchant bien sur ces vieux disques, je trouve qu'il y a un certain intérêt qui se dégage de ceux ci. D'abord le son est toujours très bon, puisque enregistré dans son studio (dynamics) avec des moyens techniques que nul autre producteur (que ce soit Duke Reid ou Coxsone par exemple) ne pouvaient se permettre d'avoir (bon dans le cas de ce disque, le studio est le West Indies Recording LTD (W.I.R.L), appartenant a Edward Seaga, grand ami de Byron Lee. Plus tard il le lui vendra et Lee le rebaptisera Dynamics)Et puis les musiciens sont tous de même pas manchots, et même s'ils jouent quasiment que des reprises, ce sont en général d'assez bons morceaux aux arrangements soignés (même souvent plus que les originaux lorsqu'il s'agit de tunes jamaïquaines). Bon après c'est vrai qu'il a sorti des tonnes de disques de soca plus horribles les uns que les autres, mais dans les années 60 jusqu'à la moitié des 70's ses productions ont je trouve un certain charme. Ici cet LP sorti sur le label soul date de 1967, et célèbre la nouvelle danse et musique jamaïquaine, j'ai nommé le rocksteady !(pour ceux qui n'avaient pas compris le titre)On y retrouve ainsi quelques hits de l'époque ("girl i've got a date" d'Alton Ellis, considéré comme le tout premier rocksteady jamais enregistré, "on the beach" des paragons, mais aussi "shoo be doo" des clarendonians ou encore "bend down low" des wailers)Il y a également deux morceaux un peu soca de Mighty Sparrow en face B (obeah wedding et papa Jack) ainsi que deux compositions d'Allen Toussaint, multi musicien et chanteur talentueux de la nouvelle orleans, très en vogue sur l'île à cette époque. Les chanteurs de l'orchestre sont Ken Lazarus (futur chanteur solo spécialiste en reprises), Keith Lyn (plus orienté crooner) ainsi que Jo Jo Bennett (ancien élève de la célèbre Alpha school, qui doublonne en jouant aussi de la trompette). Bon il y a un hic avec cet LP, c'est que mon disque est légèrement voilé, ce qui m'empêche de vous faire profiter de chaque premier morceau des deux faces. Ceux ci sont "rocksteady" un morceau de Jo Jo Bennett, ainsi que "soul ska" une tune co-composée par Ken Lazarus et Byron Lee himself. Un disque richement produit pour les personnes riches qui veulent juste s'amuser sans se soucier des origines de cette musique. Au dos de la pochette, les notes expliquent comment danser sur le rock steady! on voit clairement que les danseurs ne sont pas issus des ghettos de Kingston...
01 musical pressure
02 girl i've got a date
03 bend down low
04 007
05 shoo bee doo
06 obeah wedding
07 papa Jack
08 get out of my life
09 can you hear me
10 on the beach
DOWNLOAD LINK
http://rapidshare.com/files/405286512/BYRON_LEE___THE_DRAGONAIRES_-_People_get_ready_this_is_rock_steady__Soul_1967_.rar
vendredi 2 juillet 2010
THE HEPTONES + SLY & ROBBIE - Marcus Garvey words come to past + version (1992 Tappa)
Un recut du célèbre morceau de burning spear tiré, de l'album éponyme de celui-ci(ou Robbie jouait déjà la basse au sein des black disciples). Produit sur le label de Tappa Zukie, cette version de 1992 est légèrement modernisé grâce au rythme influé par Sly Dunbar, mais elle tient plus que bien la route, et le son ne vieillit pas. Reste que si celle ci est vraiment très proche de l'original (quasiment tout les arrangements ont étés refait), la voix de Leroy Sibbles (seul a bord du navire Heptones ?) fait merveille et celui ci réussi a d'attitrer la composition, comme si il venait de l'écrire la veille, grace à de subtils arrangements vocaux dont il a le secret. Reste que ce morceau est plus qu'un classique du reggae roots, c'est un hymne,une ode a Garvey, un morceau de l'histoire de la musique jamaïquaine voire de tout un peuple...Si en 1992, les Heptones n'étaient musicalement plus très inspirés, ce single montre tout de même qu'ils restaient maitres dans l'art de chanter.
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